GéoMégA complète la première tranche d’un placement de 3 500 000 $

Ressources GéoMégA inc. annonce, suite aux communiqués de presse publiés les 2 et 23 mars 2012, qu’elle a réalisé la première tranche (la « première tranche ») d’un placement privé par l’entremise de courtiers (le « placement privé ») avec Industrielle Alliance Valeurs Mobilières inc. et Financière Banque Nationale inc. (les « placeurs pour compte ») composé de 3 469 384 unités (les « unités ») au prix de 0,55 $ l’unité et de 1 481 333 actions ordinaires accréditives (les « actions ordinaires accréditives ») au prix de 0,75 $ l’action pour un produit brut de 3 019 160,95 $. La première tranche fait partie d’un placement privé plus important dont le produit brut maximal total est de 3 500 000 $.

Chaque unité est constituée d’une action ordinaire et d’un demi-bon de souscription d’actions ordinaires (chaque bon de souscription entier, un « bon de souscription »). Chaque bon de souscription permet à son porteur le droit d’acquérir une action ordinaire supplémentaire au prix de 1,00 $ l’action pendant une période de dix-huit (18) mois à compter du 30 mars 2012 (la « date de clôture »).

Les actions ordinaires et les bons de souscription acquis dans le cadre de la première tranche sont sujets à une période de restriction à la revente de quatre mois et un jour et ne peuvent être transigés avant le 31 juillet 2012, sauf tel que permis par la réglementation en valeurs mobilières applicable et les règles de la Bourse de croissance TSX.

La société prévoit compléter la deuxième tranche du placement privé au plus tard le 9 avril 2012.

La société a versé aux placeurs pour compte une commission en espèce de 177 398,21 $ prélevée sur le produit brut de la vente des unités et des actions ordinaires accréditives. De plus, la société a émis aux placeurs pour compte 194 901 options de rémunération incessibles. Chaque option de rémunération permet à son porteur le droit d’acquérir une action ordinaire supplémentaire au prix de 0,55 $ l’action pendant une période de dix-huit (18) mois à compter de la date de clôture.

Le produit net du placement sera affecté au financement de la mise en valeur de la propriété Montviel en procédant à une évaluation économique préliminaire et à l’exploration des propriétés de graphite de la société, ainsi qu’aux fins du fonds de roulement.

Le présent communiqué de presse n’est pas une offre de vente ni la sollicitation d’une offre de vente visant les titres aux États-Unis. Les titres n’ont pas été ni ne seront inscrits en vertu de la loi des États-Unis intitulée Securities Act of 1933, dans sa version modifiée, et ne peuvent être offerts ou vendus aux États-Unis que s’ils sont inscrits ou s’ils font l’objet d’une dispense des exigences d’inscription pertinentes.

À propos de GéoMégA
GéoMégA, qui détient 100 % du projet de Terres rares/Niobium Montviel, est une société d’exploration minière québécoise dont l’objectif est la découverte de gisements économiques de métaux mineurs au Québec. GéoMégA s’engage à respecter les normes de l’industrie minière canadienne et se distinguer par son expertise, son savoir-faire et son respect des communautés locales et de l’environnement.

À propos du projet de Terres Rares/Niobium Montviel
Le projet de Terres Rares/Niobium Montviel est situé à environ 45 km à l’ouest du territoire de la Première Nation Crie de Waswanipi et à 100 km au nord de Lebel-sur-Quévillon, dans la partie sud déjà mise en valeur du Plan Nord du Québec (Nord du 49e parallèle). Le Plan Nord est un plan de développement économique, social et environnemental dans le Nord québécois de 80 milliards de dollars échelonné sur 25 ans. Le calcul initial des ressources conformément avec le Règlement 43-101 de Montviel à une teneur de coupure de base d’oxydes de terres rares totales (OTRT) titrant 1 %, divulgué le 29 septembre 2011, totalise 183,9 millions de tonnes de ressources minérales indiquées titrant 1,45 % OTRT et 66,7 millions de tonnes de ressources minérales présumées titrant 1,46 % OTRT. Montviel, une des plus importantes ressources en OTRT à l’extérieur de la Chine, a le potentiel de jouer un rôle important à moyen terme dans le secteur grandissant des aimants en raison de la proximité aux infrastructures et de la main-d’œuvre disponible.

Divulgation norme canadienne 43-101
Alain Cayer, géo., Msc., chef géologue est la Personne Qualifiée selon les normes NI 43-101, qui a supervisé et approuvé la rédaction de la section intitulée « À propos du projet de Terres Rares/Niobium Montviel » de ce communiqué de presse.

28 007 679 actions ordinaires de GéoMégA sont présentement émises et en circulation.

La Bourse de croissance TSX et son fournisseur de services de réglementation (au sens attribué à ce terme dans les politiques de la Bourse de croissance TSX) n’assument aucune responsabilité à l’égard de la pertinence ou de l’exactitude du présent communiqué.

/s/ « Simon Britt »
Simon Britt
Chef de la direction

Pour Investisseurs :
Simon Britt
GéoMégA
450-465-0099
info@ressourcesgeomega.ca

Mises en garde concernant les énoncés prospectifs
Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs à l’égard de nos intentions et de nos plans. 2
Les énoncés prospectifs contenus dans les présentes sont basés sur diverses hypothèses et estimations posées par la société et comportent un nombre de risques et d’incertitudes. Par conséquent, les résultats réels pourraient varier considérablement de ceux prévus ou suggérés dans ces énoncés prospectifs et les lecteurs ne devraient pas se fier indûment aux énoncés prospectifs. Veuillez noter que les énoncés prospectifs comportent des risques et des incertitudes connus et inconnus, comme il est mentionné dans les documents déposés par la société auprès des autorités en valeurs mobilières du Canada. Divers facteurs peuvent empêcher ou retarder nos plans, notamment la disponibilité et le rendement des entrepreneurs, les conditions météorologiques, l’accessibilité, les prix des métaux, la réussite ou l’échec des travaux d’exploration et de mise en valeur effectués à divers stades du programme ainsi que l’environnement économique, concurrentiel, politique et social en général. La société se décharge expressément de l’obligation de mettre à jour tout énoncé prospectif, sauf si les lois sur les valeurs mobilières l’exigent.